Accompagner votre Réalisation dans vos Relationsà travers un Coaching Auto-révélateur, Cognitif-comportemental, Emotionnel, fondé sur un savoir-faire en Psychologie appliquée

« L’art du Coaching consiste à créer un environnement d’apprentissages et de découvertes au sein duquel le client résoudra ses propres problèmes, trouvera ou développera ses propres moyens pour réaliser ses propres ambitions », Alain Cardon

Psychologie de la Pertinence

& Similitudes avec le Coaching

Dans le domaine de la Psychologie, il existe bien évidemment les Psychologues, que de nombreuses personnes choisissent de consulter pour exprimer ce qui les perturbent dans leur vie, réaliser des tests psychologiques, de personnalité, psychotechniques, d’intelligence ou des bilans de compétences, consulter dans le cadre d’une prise en charge médicale, d’un événement traumatique etc Les Psychologues ont appris les modèles de la Psyché humaine, du développement cognitif, connaissent les différents troubles possibles et apportent leur éclairage pertinent ! Néanmoins, un certain nombre de Psychologues (pas tous évidemment !) gardent le plus souvent une posture d’écoute (anamnèse, neutralité, position d’observation etc) et ne pratiquent pas nécessairement le questionnement, le feed-back pertinent ou certaines attitudes d’empathie: ils sont (un certain nombre seulement !) dans une position d’observation distanciée, et sur la base d’un savoir acquis au cours de nombreuses années ils construisent leur interprétation avisée. A l’inverse du Coaching, il ne s’agit pas nécessairement pour un certain nombre de Psychologues de permettre et d’encourager la personne à construire ses propres étapes vers un Objectif de bien-être ou tout autre but, mais plutôt d’offrir un espace d’écoute puis une restitution pertinente (si possible) par la suite. Ne nous méprenons pas, les Psychologues sont bien formés: l’Écoute active est une des bases fondamentales du Coaching, et savoir écouter donne à l’autre la possibilité de s’exprimer sans entraves. Être écouté(e), c’est déjà nous remettre en grande partie de nos souffrances intérieures ! Dans ma pratique du Coaching, il m’est très important d’écouter, de reformuler pour être sûr d’avoir bien compris et permettre à la personne coachée d’exprimer ce qu’elle veut faire comprendre, sa réelle intention. Il m’est important de faire preuve d’empathie (naturelle, concernée) pour la personne que me fait confiance dans l’Accompagnement qu’elle a choisi. Humanité, respect, égards, implication, réelle écoute et par moment quelques questions légèrement « impertinentes », « enjouées » et pleines de d’égards et de compréhension, pour inviter l’autre à se questionner: une bonne manière de communiquer Vraiment !

Il y a également la Psychiatrie, qui s’occupe des maladies mentales avec des expertises basées notamment sur le DSM 5 (Manuel Diagnostique et Statistique des Troubles Mentaux) ou d’autres codifications internationales. Les docteurs en Psychiatrie sont amenés à rechercher une éventuelle pathologie en observant et diagnostiquant le patient, son histoire, ses symptômes, son pronostic etc Bien entendu, les Psychiatres font preuve d’humanité, de respect, d’égards, de compétence, et s’intéressent à la personne dans sa globalité. Nous ne sommes plus au début du 20ème siècle ! Néanmoins, il peut arriver que cette recherche méthodique dans les données des patients, centrée sur le diagnostic d’une maladie, ne mette pas assez en avant la positivité de leur histoire, ce que leurs symptômes expriment de possiblement prometteur et sensé dans leur propre parcours de vie. Il arrive que certains patients puissent se sentir dépossédés de leur propre puissance pour faire face ou donner sens à leur maladie. Il arrive que nous traversions des crises, et ces crises peuvent être les germes d’un nouveau nous plus positif, plus affirmé, pour un nouveau départ: c’est une des base du Coaching. Les moments de mal-être et certains symptômes de maladie pour certains portent par moment en eux le potentiel de nouvelles réalisations, dont la personne peut prendre conscience et se sentir en pleine possession. La médecine psychiatrique peut donner parfois l’impression à certains patients qu’ils n’ont pas de prise, pas de responsabilité à prendre dans leurs symptômes, que tout va mal, que ces symptômes n’ont aucun sens profond et positif, et que tout cela ne peut déboucher sur rien d’autre de pertinent et fructueux que le suivi d’un traitement médicamenteux sans engagement de rémission et mieux, de dépassement de soi. Y aurait-il une demande implicite de Coaching parmi certains de ces patients ? Bien entendu, certains troubles nécessitent un traitement médical bien suivi, et les Psychiatres ont une utilité et un savoir essentiels dans ces cas (la médication n’est plus celle d’autrefois, même si elle peut être source d’angoisses et ne pas être bien admise par certains patients, et même si par moment la médication peut être ressentie par certains d’entre eux comme quelque chose de subi alors qu’ils auraient préféré d’autres alternatives) Au final, nous concentrer uniquement sur les troubles et les psychopathologies, est-ce toujours la meilleure solution ? Thomas Szasz, professeur émérite à l’Université de New York, semblait être d’un avis contraire.

Sans oublier la Psychanalyse, très implantée en France mais qui a pratiquement disparu dans d’autres pays comme les Etats-Unis, remise en question par certaines études statistiques au profit par exemple des Thérapies Cognitives-Comportementales (TCC), et qui nous invite à exprimer notre histoire, nos associations d’idées, pour nous aider à révéler notre Inconscient, nous introspecter. Avec quelques fois un présupposé de faiblesse de l’homme, de quelque chose de cassé en lui qu’il se doit de réparer inexorablement tout au long de sa vie. La Psychanalyse peut parfois se rapprocher de la Psychologie de la pathologie et elle ne parait pas (en première intention) pertinente dans le cadre du Coaching, « nouvelle » discipline qui considère que la personne est autonome et responsable de ses progrès, qu’elle a le pouvoir de refaire le film de sa vie, d’être le metteur en scène de son histoire personnelle et la source créatrice de son futur en apprenant progressivement à profiter pleinement de son présent, plein de forces, libéré (par choix) de son passé. Le Coaching puise dans la Positivité et considère que nos traumatismes, nos difficultés, peuvent être surmontées par nos prises de conscience et nos actions, sans avoir nécessairement besoin de revivre ni de chercher une solution ou une excuse dans le passé. Le Coaching est une approche au présent, pour l’avenir, et ne s’intéresse au passé que pour en extraire ce qui est nécessaire pour avancer, pour prendre conscience de nos apprentissages: il n’y a pas d’échec, que des feed-backs (retours d’expérience et apprentissage de nos « erreurs »), tel est l’un des présupposés de la PNL (Programmation Neuro-Linguistique, nouvelle avancée des années 70 qui garde toute sa vigueur) ! Revivre ses traumas est-il libérateur ? Pas forcément (Sandor Ferency, 1873-1933) Les revivre dans une optique positive, de nombreux Coachs pensent que oui, sans obligation, pas dans une visée thérapeutique, et seulement si la personne Coachée y trouve un sens: tout dépend du détachement et de la positivité orientée vers la sérénité au présent, de l’enthousiasme au futur ! Notons quelques Psychanalystes qui auront beaucoup influencé le Coaching, comme Carl Jung et son concept de Synchronicité ou bien Adler et sa vision positive de l’Homme. Retenons que nombre de Psychanalystes auront découvert, diffusé (et théorisé à leur manière) le fait que l’humain est doté de processus psychiques inconscients (que le Coaching se propose de ramener positivement à la conscience s’ils peuvent être bénéfiques !)

Certaines pratiques dans les disciplines évoquées plus haut, comme par exemple une psychiatrie parfois déresponsabilisante ou démoralisante, une pratique en Psychologie fondée selon certains psy sur l’unique écoute du sachant qui ne questionne pas l’autre ou ne s’intéresse pas suffisamment à sa vie, certains psychanalystes parfois trop ancrés sur les douleurs du passé ou l’impuissance à dépasser notre Inconscient au sens Psychanalytique (sauf, selon ma propre perception, le courant de pensée et de pratique Adlérien, inspirateur à certains égards de la Psychologie positive !) etc peuvent sembler par moment éloignées du Coaching. Le Coaching s’inspire beaucoup de la Psychologie positive (psychologie de la santé) ou humaniste de Maslow, Carl Rogers, Bandler, Crabb, Virginia Satyr etc et autres Psychologues ou Thérapeutes de renom. Le Coaching s’inspire des Thérapies Cognitives-Comportementales-Emotionnelles (si utiles, et prouvées !) et d’autres techniques comme la PNL (Programmation Neuro-Linguistique), l’Analyse Transactionnelle de Eric Berne, la Gestalt Thérapie de Fridz Perl, la Psychologie biodynamique de Gerda Boyesen, la méthode EMDR de Francise Shapiro (qui a fait ses premières preuves pour traiter les traumatismes liés à la guerre), l’hypnose de Milton Erickson etc

Il est une autre discipline de la Psychologie qui semble se rapprocher du Coaching: la Psychologie de la Pertinence ! Intéressons-nous un peu plus à cette Psychologie, objet de cet article. Quel est sont Objectif ? Quels sont ses fondements ? Dans quelle mesure cette Psychologie se rapproche-t-elle du Coaching voire des autres Thérapies alternatives ? En tout cas, elle se présente comme un pont, une approche intermédiaire et humaine, un complément positif, entre la Psychiatrie (et d’autres branches de la Psychologie de la pathologie) et la Psychologie de la santé (positive etc…) !

La Psychologie de la Pertinence repère les processus pertinents qui s’accomplissent chez un sujet puis les accompagne vers leur accomplissement. Accompagner, s’accomplir, prendre conscience de nos processus intérieurs ? Tout cela se rapproche-il du Coaching ? La Psychologie de la Pertinence met en avant le fait que même si la Psychologie de la pathologie a son importance, la Psychologie de la santé a une importance également, possiblement bien plus grande. La Psychologie de la Pertinence s’intéresse au justesses présentes même dans le cas de pathologies ou de dysfonctionnements. Ce qui fonctionne bien malgré les symptômes d’une maladie. Certaines personnes souffrent d’un trouble qui pourrait être diagnostiqué comme « psychopathologique » parce que quelque chose cherche à s’exprimer en elles (traumatisme de leur passé etc), et permettre à ces personnes de simplement découvrir ce qui est à révéler en elles-mêmes peut les libérer d’un fardeau puis par là-même de leur trouble ! La Psychologie de la Pertinence pourrait-elle être une approche positive, humaine, de Coach, envers des personnes possiblement diagnostiquées d’une maladie psychique ? Avec toutes les vertus du Coaching. Il semble bien que la Psychologie (qui fut un temps une branche de la Philosophie) et le Coaching (plein de sagesse également) s’apportent mutuellement. Toutes les disciplines qui placent l’Humain comme créateur (au sens Triangle de TED, opposé au Triangle de Karpman) de sa propre vie ne peuvent que tisser des ponts entre elles, car elles partagent la même intention !

Alors, cette Psychologie de la Pertinence, « nouvelle » branche de la Psychologie, se rapproche-t-elle dans son approche de la vision du Coaching ? S’inspire-t-elle de l’état d’esprit d’un Coach ? Si c’est le cas, tant mieux, elle deviendra un nouvel outil de Coaching, porté sur l’Humain et ce qu’il peut réaliser par lui-même parce qu’il le croit puis par conséquent parce qu’il le peut (effet Pygmalion)

Merci aux Psychiatres, aux Psychologues, aux Coachs, aux Thérapeutes, au Psychanalystes et à toutes les personnes passionnées et concernées par l’Humain qui font avancer nos connaissances sur des phénomènes psychiques souvent bien inconscients et dont nous pouvons dès lors nous affranchir progressivement (biais cognitifs, croyances limitantes, système 1/système de 2 de Daniel Kahneman etc) Pensée particulière pour la Psychologie positive et humaniste, pour les recherches dans les approches cognitives-comportementales etc. Enfin, pensée intriguée pour la Psychologie de la Pertinence !

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